Le droit n’est jamais figé. Il évolue à mesure que notre société change, s’adapte aux nouveaux usages, aux mutations des structures familiales, à l’émergence de nouvelles technologies ou encore à la prise de conscience écologique.

Ce sont les juristes, les avocats, les magistrats, et parfois les citoyens eux-mêmes, qui participent à ce mouvement, repoussant les frontières du possible, ajustant les règles pour mieux refléter la réalité de nos vies. Comme l’écrivait Montesquieu, « les lois doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites », une invitation à penser le droit non comme un carcan, mais comme une matière vivante, en dialogue constant avec les mœurs et les valeurs de chaque époque.